Hors-sujet par Franck Barralis

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« Ce jour-là, Ferdinand se réveilla avec une gueule de bois capable de reboiser tout le parc national du Mercantour. Il était à peu près 12h30 et une journée de plus dans l’existence, ou plutôt dans l’inexistence, l’attendait. Ferdinand aimait par-dessus tout la solitude et l’absence de problème. Aussi dormir était son activité préférée. »